Parc national de la Hoge Kempen

On 23 March 2006, Belgium’s first national park was established by the then Flemish Minister for the Environment. The Hoge Kempen National Park, in the Belgian province of Limburg, is a unique nature reserve where more than 12 000 hectares of forest and heathland are managed and protected. The area covers the municipalities of As, Bilzen-Hoeselt, Bree, Dilsen-Stokkem, Genk, Lanaken, Maasmechelen, Maaseik, Oudsbergen and Zutendaal.

Un « programme opérationnel » pour la période 2020-2025 a été approuvé en 2021. Il comprend 137 actions menées par 32 partenaires, pour lesquelles 82 millions d'euros sont disponibles. Il a notamment donné lieu à un appel du gouvernement flamand aux coalitions de zones régionales pour qu'elles explorent les possibilités de créer des parcs nationaux supplémentaires en Flandre et qu'elles posent leur candidature. Entre-temps, il existe 4 parcs nationaux en Flandre.

Plusieurs mesures de défragmentation ont été systématiquement mises en œuvre, notamment des écorasters, des écotunnels, un pont de berme et un écoduc, afin de promouvoir la connectivité écologique.

Enfin, avec notre programme 1% pour la nature, nous voulons aider les entreprises à atteindre leurs objectifs RSE (responsabilité sociale des entreprises) ou les ODD (objectifs de développement durable). Si vous êtes à la recherche d'un projet nature intéressant dans lequel investir une partie de vos bénéfices (par exemple 1%), nous avons plusieurs grands projets nature auxquels votre entreprise peut contribuer.

Zones urbaines et périurbaines

• Respecter et/ou améliorer les caractéristiques écologiques spécifiques à la zone (e.g. respecter la topographie, le type de paysage, la faune et la flore locales);
• Mettre en place une gestion adaptée et favorable à la biodiversité (e.g. réensauvagement et tonte réduite des parcs, jardins, talus, étangs, pas de produits chimiques);
• Le plus de naturel possible/le moins d’altération possible du paysage initial (paysage, qualité de l’eau, des sols, ...);
• Intégrer les aménagements dans la zone et le milieu environnants;
• Utiliser des espèces locales, des sous-espèces plus résilientes et résistantes aux changements climatiques, le cas échéant.

Le plan directeur 20-40 du parc national de la Haute Campine comprend des programmes d'action visant à rendre le parc national robuste, acquisitif et résilient d'ici 2040. Par exemple, grâce à un plan de mise en œuvre spatiale, environ 500 hectares d'utilisations non écologiques (industrie, terres récupérées) ont été convertis en zones naturelles. Des écoducs et des écotunnels ont été inclus dans le plan, dont certains ont déjà été réalisés.

Les gestionnaires du parc national ont pour objectif de créer l'écosystème le plus naturel et le plus autorégulé possible, sans pour autant perdre de vue la grande valeur culturelle du paysage des landes d'Europe occidentale. Les gestionnaires du parc national collaborent pour gérer la nature par le biais de plans de gestion de la nature. Pour ce faire, les forêts sont plus variées, le paysage des landes est élargi, sa qualité est améliorée et les différentes zones de landes sont reconnectées.
Une équipe multidisciplinaire du parc national a été chargée d'une série de tâches au nom de la coalition du parc national afin de réaliser la mission, l'ambition, la vision spatiale et les objectifs définis dans le plan directeur 20-40.
Alors que le plan directeur définit une vision à long terme avec un horizon de 20 ans, le plan des partenaires 20-25 a un horizon de 5 ans. Ce plan définit, au sein de la Coalition des parcs nationaux composée de 32 partenaires, les actions prioritaires, les accords de travail et de financement qui conduiront à des réalisations concrètes pour rendre le parc national de la Haute Campine plus grand, plus beau et plus fort.